Eco-Tuning : l’alternative idéale pour rentabiliser la consommation de carburant

Eco-Tuning

Certains automobilistes veulent ressentir la sensation forte une fois au volant. Pour cela, leur véhicule doit avoir un moteur doté d’une puissance convenable aux performances sollicitées. Avec des voitures disposant d’un boîtier électronique, beaucoup se lancent dans le chiptuning afin d’augmenter la puissance du moteur de 25 % et le couple de 35 %. De ce fait, le circuit d’admission recevra de l’air en grosse quantité pour que l’accélération et la reprise s’enclenchent avec plus de facilité. C’est dans cette mesure qu’intervient le principe de l’Eco-tuning pour diminuer la consommation en carburant jusqu’à 15 % malgré les conditions de conduite.

Présentation de l’Eco-Tuning

L’Eco-Tuning permet de reprogrammer le boîtier électronique d’un véhicule pour que le moteur puisse tourner à bas régime en ayant les mêmes performances en vitesse et en accélération. En effet, cette option permet d’avoir du plaisir au volant tout en bénéficiant d’une économie de carburant. CB Power, un spécialiste en reprogrammation moteur dispose de plus amples informations concernant les procédures à suivre pour tuner son moteur, et peut s’en occuper. Afin de mieux comprendre les fonctionnements de l’Eco-Tuning, il faut d’abord avoir quelques notions sur le régime moteur et le couple moteur. 

Le régime moteur

Le régime moteur fait référence à la vitesse de rotation du moteur (exprimée en tours/minute). Indiqué sur le tableau de bord à l’aide de compte-tours ou tachymètre, il offre au conducteur une possibilité de gérer l’accélération à enclencher en fonction de la situation.

Le couple moteur

Le couple moteur, quand à lui, correspond au dynamisme de la rotation du moteur. Il dépend impérativement du régime moteur. Plus les tours enregistrés sont importants, plus le couple est à son maximum. Les véhicules à essence sont moins « coupleux » que les diesels.

Quels sont les potentiels d’économies avec l’Eco-Tuning ?

Hormis l’amélioration du couple et du régime moteur, l’Eco-Tuning intervient également dans l’optimisation de la consommation d’un véhicule. En adaptant les principes de l’Eco-réglage, la voiture peut circuler avec les mêmes conditions, mais en consommant moins de carburant. Un conducteur peut encaisser entre 10 à 20 % d’économie. Il faut quand même souligner que le potentiel d’économies dépend surtout de la performance de l’auto ainsi que du mode de conduite. Un moteur vorace en carburant est plus avantageux.

En quoi risque un véhicule en adoptant le principe de l’Eco-Tuning ?

L’Eco-Tuning se présente sans risque dans toutes les circonstances. Toutes les modifications tiennent compte des paramètres du constructeur ainsi que de l’état actuel du véhicule. Le moteur ne sera pas influencé ni sur sa durée de vie ni sur ses aptitudes auparavant. Les installations sont réversibles au point de revenir sur les réglages initiaux. 

D’autre part, de nombreux experts-automobilistes recommandent fortement cette conversion grâce aux privilèges qu’elle apporte par rapport aux conduites et surtout par rapport à l’entretien du moteur. Le conducteur ne sera plus amené à forcer le tour moteur pour pouvoir démarrer une reprise. Un moteur qui tourne rarement à plein régime est plus durable. En plus, l’Eco-Tuning permet de réduire la consommation en carburant. Un avantage considérable pour rembourser le coût du tuning, mais également tous les investissements affectés.

Moto BMW : un confort pour les conducteurs

BMW F750GS

La marque BMW tient un point d’honneur à assurer le confort des motards. Les deux-roues de ce constructeur allemand sont connus pour offrir une assise confortable. Une moto estampillée du logo au damier offre aussi une ribambelle d’options et de réglages. Les conducteurs ne vont pas s’en plaindre.

Une moto BMW s’adapte à la taille du conducteur

Pratiquement toutes les motos BMW récentes offrent une grande adaptabilité. Il est notamment possible de rabaisser le guidon pour avoir une position des bras confortable. Le réglage peut également se faire pour la hauteur de selle. Il faut généralement baisser à 800 mm pour que les pieds du motard puissent pleinement prendre appui sur le sol. C’est le niveau conseillé pour une personne de 1,70 m ou légèrement plus petite. Avec la BMW F750GS, il est possible de descendre la selle jusqu’à 770 mm. Pourtant il s’agit bien d’une grosse cylindrée avec ses 400 cm3. De toute manière, l’adaptation se fait assez facilement sans devoir changer d’amortisseur. Régler la moto BMW auprès du concessionnaire reste la meilleure option. Après la petite modification, la suspension reste d’excellente qualité. Rabaissée de quelques centimètres, elle peut toujours encaisser bosses et nid de poules comme si de rien était. Le système ESA permet aussi de régler la rigidité de la suspension. Des commandes sur le guidon actionnent le mode de conduite sportive.

Des équipements de confort pour le motard

Pour BMW, le confort du conducteur n’est pas un concept vague. La marque propose une multitude d’équipements pragmatiques. Les poignées chauffantes automatiques sont montées en série. C’est un détail que les motards apprécient lorsqu’il faut conduire par temps froid. Contrôlé par l’ordinateur de bord, le chauffage s’ajuste selon la température extérieure. Ce type d’équipement permet au conducteur de se concentrer sur la route. Les sièges de moto BMW disposent également de chauffage. Ces selles confortables sont souvent proposées en option avec le pare-brise électrique. Cette vitre frontale s’adapte au mode de conduite choisi. Le motard peut toujours faire le réglage grâce à un bouton dédié à cette fonction. Très complexe, ce calibrage est un système breveté BMW. Un pare-brise dans la bonne position économise le carburant en travaillant l’aérodynamique. C’est aussi une manière de réduire le bruit.

Nombreux outils d’aide à la conduite disponibles

Le tableau de bord d’une moto BMW marque sa différence avec une étonnante simplicité. Il ne faut pas être un as du guidon pour comprendre le fonctionnement des différents indicateurs. Un écran TFT de 5,7 pouces affiche les données essentielles à la conduite. Ce moniteur de 14,2 cm de diagonal inclut plusieurs graphiques faciles à comprendre. Ils montrent le bon fonctionnement des différents instruments embarqués. Quelques lignes de texte vont aussi aider à mieux entendre ce que la moto a à dire. L’écran s’allume automatiquement dès que la luminosité diminue à la tombée de la nuit ou dans un tunnel. La prise en main du véhicule devient pratiquement intuitive avec le multi-contrôleur. Cette invention regroupe plusieurs commandes sur la poigné gauche. Le motard contrôle tout sans lever la main du guidon. Toute la manipulation s’affiche à l’écran de bord.

Choisissez le bon casque pour vos enfants

bon casque pour vos enfants

Transporter un enfant sur une moto demande beaucoup d’attention. Il faut notamment un bon casque pour assurer la sécurité du petit passager. Que le jeune motard soit à l’avant du conducteur ou derrière son dos, il doit mettre un équipement adapté. Retrouvez quelques critères à voir de près pour choisir parmi les casques moto disponibles sur le marché.

Opter pour la bonne taille de casque moto pour enfant

La taille constitue un critère essentiel pour choisir le meilleur casque moto de votre enfant. Optez pour un modèle adapté à son âge. Puisqu’il existe différentes dimensions, le mieux serait de faire un essai avant l’achat. Les fabricants proposent des casques 4XS, 3XS et 2XS. Ils se destinent pour les plus jeunes passagers. Pour les plus grands enfants, il faut choisir entre les pointures juniors S, M ou L. Sachez qu’avec le temps, la mousse à l’intérieur du casque moto tend à devenir plus fine. Il serait préférable de choisir une taille en dessous de la normale, si vous avez un doute au moment de décider. Par ailleurs, les enfants grandissent à une telle vitesse qu’il faudra changer d’équipement assez rapidement. Pensez aussi à considérer le poids. La plupart des casques moto pour enfant dans le commerce ont entre 800 et 1400 grammes. Ils conviennent pour des destinataires ayant entre 20 et 35 kg.

Choisir le type d’équipement le plus adéquat

Le casque jet allie légèreté et protection optimale. Cette déclinaison sans mentonnière couvre le crâne et les oreilles. Elle laisse libre la partie basse du visage. La face est protégée par une visière qui peut remonter vers le haut. Ce type de casque reste assez facile à mettre et à enlever. Ce qui le rend pratique pour des enfants de tout âge. Pour ceux qui veulent une protection encore plus grande, il faut se tourner vers le casque intégral. Ce modèle marque sa différence avec une mentonnière. L’intégralité de la tête est protégée. Ce type d’équipement peut peser un peu plus lourd, mais reste très pratique. La sécurité qu’il procure constitue un argument de taille. Que ce soit pour les modèles jets ou intégrales, les fabricants font de leur mieux pour personnaliser les casques. Une belle couleur ainsi que des motifs attractifs les rendent irrésistibles pour les enfants.

D’autres détails à considérer pour différencier les bons casques

Choisir un casque moto pour enfant se fait de la même manière qu’avec un modèle adulte. Par prudence, il faut voir en détail la qualité du produit. Il est fortement recommandé de se pencher sur les homologations. La France exige à ce que les équipements moto, en l’occurrence les casques, soient conformes aux normes en vigueur. Cela tient surtout pour les petits motards qui ont leur propre véhicule ou qui font de la compétition deux-roues. La norme ECE 22-04 et ECE 22-05 restent de rigueur pour tous motards, quel que soit l’âge. L’étiquette verte NF S 72.305 est également un gage de qualité. Autre détail, ce serait très bien si la vitre ait un traitement anti-bué. Ce verre ne devrait pas non plus se rayer trop facilement. Enfin, les fabricants proposent aussi des casques avec de la mousse intérieure lavable.

Sécurité : assurer l’efficacité du freinage de ses deux-roues

assurer l’efficacité du freinage

En matière de moto, le freinage constitue un sujet à prendre très au sérieux. Cette action demande une parfaite maîtrise des gestes. Elle nécessite également un système adapté au modèle de deux-roues. Pour assurer la sécurité du motard et des autres usagers de la route, il vaut mieux bien cerner la question des freins.

Opter pour le meilleur système de freinage pour la moto

Il existe différents types de freins pour moto. Ce sont des systèmes avec leur fonctionnement respectif. Actuellement, l’ABS reste l’un des plus recommandés pour la grande sécurité qu’il offre. Utilisé sur les voitures, ce système de freinage assisté évite de bloquer complètement la roue. À manette serrée, la moto continue de rouler pour éviter toute chute. L’ABS convient pour une piste mouillée, mais montre rapidement ses limites en cas d’obstacle subit. La technologie « assisted break system » est conçu pour ceux qui roulent sur l’autoroute et toute autre voie dégagée. Il équipe les motos GP et les sportives. Le freinage radial est un mécanisme qui permet aussi de s’arrêter en douceur. Cette variante de l’ABS a un mécanisme complexe. Elle reste rare et chère mais se trouve sur bon nombre de motos haut de gamme. La plupart des deux-roues ont encore un freinage traditionnel au tambour ou à disque. Bons marchés, ces systèmes sauvent de vies depuis des siècles. Ils arrêtent bien la moto à temps, mais manquent parfois de délicatesse. Le motard risque d’être expulsé s’il bloque complètement la roue avant. Lorsqu’il force sur l’arrière, le glissement devient inévitable. Le de freinage CBS propose de gérer cette répartition en arrêtant efficacement la moto. À ce titre, le ce système convient uniquement pour les petites cylindrées et les scooters.

Choisir la bonne technique pour freiner le véhicule

Les motards connaissent tous qu’une moto s’arrête difficilement lorsqu’elle roule à vive allure. Un bolide lancé à 80 km/h a besoin d’une quarantaine de mètres pour s’arrêter. Si l’obstacle arrive subitement, le conducteur a le choix entre un freinage d’urgence ou un évitement. Dans de nombreux cas, il vaut mieux contourner le danger. Concrètement, les yeux du motard doivent être rivés sur l’endroit où il souhaite rouler, non sur l’obstacle. C’est pour éviter cette situation désagréable qu’il est nécessaire de garder une distance de sécurité avec le véhicule de devant. Cela dit, le freinage d’urgence constitue l’une des techniques qu’il faut maîtriser avant de décrocher le permis moto. Les conducteurs apprennent qu’il faut stopper simultanément l’avant et l’arrière de manière à repartir la friction. Le motard a intérêt à serrer fermement sa monture entre ses jambes. Cela évite d’être expulsé vers l’avant. Les moniteurs d’auto-école indiquent qu’il faut freiner fort dès qu’un obstacle survient subitement, alors que le véhicule roule à toute vitesse. Ils poursuivent que les manettes sont à relâcher progressivement pour ne pas bloquer les roues et glisser. Avoir le réflexe de couper les gaz avec la clé de contact pourrait être salutaire, si la moto n’a pas trop d’électronique embarquée. Une autre approche consiste à rétrograder. Le changement de rapport de vitesse pourrait tout de même comporter quelques risques, à moins de bien maîtriser le jeu d’embrayage.

Le meilleur pot d’échappement pour réduire le bruit de votre moto

pot d’échappement pour moto

Un bon pot d’échappement donne sa personnalité à une moto. Cet équipement fait nettement plus que filtrer et évacuer le gaz émanant de la combustion. Il est possible de changer le modèle d’origine pour réduire ou personnaliser le son que votre monture fait. Ceci est un petit guide pour trouver LA pièce de rechange pour deux-roues qu’il vous faut.

Un pot d’échappement pour moto réduisant les décibels

Les motards savent à quel point, le pot d’échappement est important pour une moto. Cette pièce reflète l’âme du véhicule. Cela dit, il est tout à fait possible de l’améliorer sans changer la personnalité du deux-roues. Concrètement, le bruit peut descendre de quelques décibels sans que les sonorités ne changent. Le choix reste libre. Différentes marques proposent des modèles avec leurs particularités respectives. Les produits sur le marché ont en commun de respecter la réglementation en vigueur. La législation française exige à ce que les deux-roues ne fassent pas plus de 80 décibels lorsqu’ils roulent en troisième vitesse à 50km/h. Cette limite s’applique pour tout le monde, même les grosses cylindrées de plus de 175 cm3. Les agents de la sécurité routière utilisent un sonomètre ou un radar antibruit pour faire respecter la loi. Autre chose, il est désormais possible de personnaliser le bruit de moteur. Des pots d’échappement moto permettent d’avoir une sonorité plus rauque et grave.

Une pièce de rechange avec un beau design

Le design compte énormément pour le choix d’un pot d’échappement deux-roues. Les motards veulent avant tout un produit qui fait oublier la monte d’origine. Cet équipement est souvent basique avec une esthétique peu flatteuse. Il faut donc une pièce de rechange qui sort de l’ordinaire. Après le changement, la moto a généralement une apparence plus sportive, voire agressive. Ce choix est parfait pour ceux qui ont un deux-roues de type bol d’or, GT, super-motard ou bien cross. Il existe aussi des pots d’échappement vintage. Au lieu d’attirer l’attention, ils sont plus sobres. La couleur passe du gris métallisé au noir mat. Ce style convient pour certaines motos routières. Les fabricants jouent aussi la carte du minimalise en proposant un pot d’échappement beaucoup plus court que l’original. Dans tous les cas, le point d’ancrage d’origine doit rester le même.

L’équipement doit donner davantage de performance

Un échappement moins bruyant et plus beau ne devrait aucunement réduire les performances. Les marques spécialisées proposent des modèles très esthétiques qui apportent des chevaux supplémentaires. La matière produisant le bruit de moteur compte. S’il faut de la performance pure, ce serait préférable d’opter pour le carbone. Ce matériau a tendance à moins résister à la température, mais reste plus solide que le métal. D’ailleurs, les pots d’échappement en acier sont à bannir. Ils rouillent trop rapidement. Pour ceux qui cherchent une pièce robuste et qui ne fond pas à très haut régime, un silencieux en titane serait très bien. Mieux que le carbone, ce métal supporte parfaitement le nombre de tours très élevé pendant une longue durée. Si le changement de pot d’échappement entre dans le cadre d’une compétition deux-roues, il vaut mieux revoir la cartographie du moteur.

Bien choisir son pot d’échappement 

Après avoir vu la réduction de décibels, le design et enfin les performances, on va désormais s’intéresser au choix. Car oui, si beaucoup de sites comme Les bikeuses proposent des accessoires motos de qualité, on n’y trouve pas nécessairement le pot d’échappement souhaité, mais à la place, on peut toujours avoir quelques conseils de la part de passionnés. Mais avant de faire un choix, il faut d’abord savoir comment choisir son pot d’échappement pour moto. 

Sans doute le plus évident, il faut choisir un pot d’échappement adapté à votre moto. Par exemple, si votre moto est une moto sportive, un roadster ou une moto de compétition, alors un pot d’échappement haut sera très bien adaptée. Il est donc très important de vérifier que le pot d’échappement corresponde à votre véhicule.

De plus, un pot d’échappement doit être conforme à la réglementation en vigueur, si votre intention est de conduire sur la route. Ainsi, cette pièce doit être homologuée Euro et CE. Ces deux réglementations vous assurent de ne pas dépasser les décibels acceptables sur la route. Encore une fois, cette réglementation ne concerne pas un usage sur piste, si votre objectif est de profiter de la moto de manière récréative, alors vos options seront bien plus grandes, et souvent plus bruyantes.

Enfin, le matériau. Tous les pots d’échappement n’ont pas la même composition et en conséquence pas les mêmes caractéristiques. L’acier inoxydable compose les pots d’échappements d’entrée de gamme, il est lourd et n’est pas doté d’une grande durabilité. Le titane est bien plus léger et résistant en plus d’être facile à entretenir, il est fréquemment employé dans le domaine de la compétition. Le carbone est semblable au titane, tout en étant plus léger, mais aussi plus fragile, les chocs sont en conséquence à éviter. Enfin, l’aluminium est également un matériau léger, mais simple à entretenir en plus d’être relativement solide, il s’agit globalement d’un bon choix.